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Gérard Jugnot - Page 2

  • Un jour mon père viendra

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    C’est une période difficile pour notre pote Bernard Beu (François Berléand) qui vient de perdre sa femme laissant derrière elle une fortune colossale. Il va cependant découvrir un tout autre trésor ; un coffret renfermant toutes les lettres de Chloé (Olivia Ruiz), une fille dont il ignorait jusque-là l’existence. Il part donc à sa recherche et se rend en France où il apprend que sa fille a déjà un père en la personne de Gustave (Gérard Jugnot). Chloé quant à elle est en froid avec ce père et on la retrouve à Bordeaux où elle mène un casting aussi fastidieux qu’insolite puisqu’elle cherche un comédien pour incarner son père ! La jeune femme se marie bientôt et a quelque peu enjolivé la vérité pour séduire l’ancien champion de tennis Stephen (Jamie Bamber).

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    Un jour mon père viendra va surtout faire parler de lui par rapport à la première apparition sur le grand écran de l’artiste Olivia Ruiz car le reste est franchement anecdotique. La prestation de la chanteuse est correcte avec encore quelques approximations mais elle ne parvient en aucun cas à illuminer l’ensemble. Le scénario aurait bien eu besoin de plus de clarté, on a un peu l’impression que l’histoire nous est vite jetée à la figure pour dérouler le reste. Quant à la paire Jugnot / Berléand, elle est sympathique et réussit à nous arracher quelques timides sourires mais largement insuffisant pour dépasser le stade d’une comédie totalement quelconque.



    Il faut le voir pour : Ba .. euh… en fait… allez portons un toast !

  • Beur sur la ville

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    Villeneuve-sous-bois dans le 9-9. Alors que le préfet Flaubert (Roland Giraud) vient célébrer la nouvelle promotion de Lieutenants de police des Basses-Seines, il est interpellé sur le fait que parmi ces officiers aucuns ne soient réellement issus de ce qu’on appelle des minorités visibles. Il charge alors Picolini (François-Xavier Demaison) de régler cette affaire et celui-ci va se faire un plaisir de dénicher l’homme le plus incompétent au monde : Khalid Belkacem (Booder). Pour ne pas faire les choses à moitié, on confie à ce nouveau lieutenant de police une affaire sordides de meurtres qu’il va devoir résoudre. C’est la débâcle assurée pense-t-on d’autant que Khalid ne se sent pas très à l’aise dans ses nouvelles fonctions mais il n’est pas au bout de ses surprises.

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    Pour moi, le cinéma de Djamel Bensalah est proche de celui d’un Fabien Onteniente ; les 2 réalisateurs sont là pour nous faire rire et ils connaissent les ficelles de la comédie sur le bout des doigts. La seule chose c’est qu’ils peinent réellement à se renouveler mais tant que le succès est au rendez-vous, pourquoi changer ? Par son physique atypique, notre pote Booder se voit offrir le premier rôle de Beur sur la ville mais ça tire plus sur le one-man show qu’autre chose assisté par un parterre de guest-stars (Jean-Claude Van Damme, Frédéric Beigbeider, Ramzy Bedia, Popeck, Gérard Jugnot …). Une comédie trop poussive à l’image d’un scénario qu’on aurait apprécié plus simplifié et rarement drôle, ça se laisse voir mais peut-être pas sur le grand écran.

     

    Il faut le voir pour : Eviter les pressings indiens.

  • La nouvelle guerre des boutons

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    C’est sur le chemin de l’école que les frères Gibus (Théophile Baquet & Clément Godefroy) ont surpris ceux de Velrans en train de chasser des lapins sur leurs terres ; un véritable affront ! Pour Lebrac (Jean Texier) et tous ses potes d’enfance de Longeverne, l’honneur du village doit être défendu et leurs adversaires n’ont qu’à bien se tenir. Pendant ce temps, l’école accueille une nouvelle élève Violette (Ilona Bachelier), la filleule de Simone (Laetitia Casta) et tous les garçons sont subjugués par cette jolie demoiselle. Cette dernière n’est pas arrivée à Longeverne totalement par hasard ; le pays est sous l’occupation nazie et de par ses origines juives, elle doit se cacher pour éviter d’être capturé par les officiers allemands.

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    Après La guerre des boutons de Yann Samuell, c’est maintenant au tour de Christophe Barratier de proposer sa version. Ce qui est sur c’est que ce n’est pas avec La nouvelle guerre des boutons que les critiques arrêteront de reprocher au réalisateur de surfer sur la vague de la nostalgie. Pour en  revenir sur le film, l’approche de situer l’histoire au cœur de l’occupation allemande apparait comme une bonne idée seulement ça manque de développement ; on reste très proche de l’œuvre d’Yves Robert avec un gros clin d’œil à la célèbre citation de Tigibus. On aurait bien apprécié une plus grande prise de risque à travers un scénario plus remanié mais ce film, qui se défend d’être un remake,se contente vraiment du minimum.

     

    Il faut le voir pour : Recoudre vos boutons à la mode parisienne.

  • Envoyés très spéciaux

    Quelle histoire !

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    a.jpgBonjour je me présente ; Albert Poussin (Gérard Jugnot), je suis technicien pour la station de radio R2i. La rédaction m’a envoyé couvrir l’actualité en Irak en compagnie de Frank Bonneville (Gérard Lanvin) mais je n’avais aucune envie de partir !

     

    Ma femme Françoise (Valérie Kaprisky) m’avait quitté quelques jours plus tôt sans la moindre explication et je ne pouvais pas partir comme ça ! Frank m’a finalement convaincu qu’il fallait que je prenne du recul et j’ai donc accepté de partir et c’est là que les choses se gâtent.

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    J’ai accidentellement jeté à la poubelle nos billets d’avion et l’argent qu’on nous avait confié. Depuis, nous nous cachons dans ce hammam en faisant croire à tout le monde que nous sommes en Irak !

     

     

    En savoir plus sur Envoyés très spéciaux ?

  • Scout toujours

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    C’est avec une grande fierté que notre pote Jean-Baptiste Foucré (Gérard Jugnot) a accepté d’accompagner les jeunes scouts pour ce camp de vacances. Son père est une légende du scoutisme mais rien ne dit qu’il ait hérité des mêmes qualités car Jean-Baptiste aura fort à faire avec ces enfants. Ils sont déjà venus à bout leur ancien moniteur et comptent bien en faire de même avec leur nouveau chef qui fait preuve d’un peu trop de zèle. Ça se gâte rapidement au moment où le bus tombe en panne avant d’être réduit en poussière par mégarde par Jean-Baptiste lui-même. Et dire que ce n’est que le début du voyage !

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    Il faut bien le reconnaitre, ce n’est certainement pas le meilleur film de Gérard Jugnot présent aussi bien en tant qu’acteur que réalisateur mais on apprécie toujours de le revoir. En abordant le thème du scoutisme, ça réveille forcément des souvenirs pour de nombreux spectateurs et puis il faut lui reconnaitre le mérite pour une comédie grand public d’aborder -certes de façon superficielle- des thèmes assez sensibles. Et puis ne serait-ce que pour voir cette dernière scène culte du paquet cadeau en flammes, ça fait plaisir de regarder Scout toujours !

  • Thérèse & Pierre - Le père noël est une ordure

    03.jpg02.jpgPierre : Ohhh une serpillière, comme c'est original !


    Thérèse : Euh, nan, Pierre, c'est un gilet...


    Pierre : Ah oui, il y a des trous encore plus grands pour passer les bras ! Je me disais justement ce matin : je n'ai rien pour descendre les poubelles !

  • Rose & Noir

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    Si vous êtes à la recherche de la mode tendance XVIème siècle, un seul nom vous viendra à l’esprit : Pic Saint Loup (Gérard Jugnot). Couturier de génie, il a enchanté les yeux du roi Henri III (Arthur Jugnot) qui lui a confié une mission de la plus haute importance : fabriquer une robe pour le mariage de Margarita & Frédéric (Aixa Villagran & Raphaël Boshart). Direction Séville mais avant tout, le créateur doit convaincre Flocon (Assaad Bouab) de l’accompagner car ce que tout le monde ignore c’est que c’est lui qui dessinait les robes Saint Loup durant ces dernières années.

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    Oubliez les Karl Lagerfeld & Paco Rabane ; faites plutôt place à Pic Saint-Loup ! Un personnage excentrique du 16ème siècle habillé de la tête au pied de rose bonbon incarné par Gérard Jugnot qui signe également la réalisation. Vexé de n’avoir pu adapter les aventures du petit gaulois (comprenez Astérix bien sur), il s’est lancé dans un film historique très fantaisiste un peu façon Marie-Antoinette. Hélas pour le spectateur, le résultat est beaucoup moins probant pour cette comédie qui patine et au ressort comique hasardeux. Rose & Noir déçoit par la platitude de son scénario et ne parvient à aucun moment à nous plonger dans l’univers baroque de son héros.

     

    Il faut le voir pour : Mettre un peu de rose dans votre garde-robe.

  • Envoyés très spéciaux

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    L’actualité est brulante en Irak et la station de radio R2i a donc logiquement envoyé un correspondant sur place, leur vedette Frank Bonneville (Gérard Lanvin). Il sera assisté d’Albert poussin (Gérard Jugnot) mais ce dernier commet une grosse bourde en jetant à la poubelle les billets d’avion et un budget de 20 000 €. Obligés de se cacher, ils se réfugient dans le quartier de Barbès et décident de faire croire qu’ils sont vraiment en Irak. Entre-temps, Albert est en pleine dépression car sa femme a quitté la maison sans explications mais Frank lui doit savoir pourquoi.

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    Deux Gérard pour le prix d’un avec un duo plutôt sympathique pour une comédie qui ne l’est pas moins. Porté par des dialogues bien écrits, Envoyés très spéciaux ne sera pas la comédie de l’année mais vous fera sans doute passer un bon moment avec son humour assez élémentaire. Pas évident car le sujet était pourtant peu propice à faire une comédie mais le film de Frédéric Auburtin s’en tire bien. Après avoir vu ce film, on est encore plus convaincu par le fait que nous pouvons être victimes d’une information parfois manipulée.

     

    Il faut le voir pour : Ne plus hésiter à porter du orange


    Découvrez le film Dans la peau du héros !

  • Musée haut, musée bas

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    Rien ne vaut une bonne sortie culturelle ! Quel plaisir de pouvoir aller admirer les œuvres ancestrales des plus grands artistes et c’est bien pour cela que le Musée Haut, Musée Bas vous accueille comme il se doit. Vous apercevrez forcément le conservateur, Mosk (Michel Blanc) qui est là pour veiller aux moindres détails et surtout pour protéger les œuvres contre les immondes végétaux capables de s’incruster n’importe où. Il y a tellement de choses à découvrir dans ce musée que vous vous surprendrez à y passer votre journée ou bien alors c’est parce que vous ne retrouvez pas votre voiture !

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    Ce qui est frappant dans Musée haut, musée bas c’est évidemment le casting d’une richesse folle. On ne va pas tous les citer mais vous retrouverez entre autres Gérard Jugnot, Isabelle Carré, François-Xavier Demaison … Une belle vitrine donc pour cette adaptation de la pièce de théâtre de Jean-Michel Ribes comme pour masquer les faiblesses du film. Les scènes se succèdent nous faisant visiter les 4 coins du musée (allant même jusqu’aux petits coins) mais il y a un manque évident de liant dans l’ensemble. Certaines scènes sont assimilables à de l’art abstrait, c’est beau mais on n’y comprend pas forcément grand-chose ; à voir si vous n’aimez fréquenter les musées qu’au cinéma.

     

    Il faut le voir pour : Détruire toutes les plantes vertes.

     

  • Faubourg 36

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    Situé dans le Faubourg, le Chansonia est une salle de spectacles où travaillent Pigoil, Milou & Jacky (Gérard Jugnot, Clovis Cornillac & Kad Merad). Hélas, les temps sont durs pour le propriétaire criblé de dettes qui met fin à ses jours et abandonne le Chansonia au cruel Galapiat (Bernard-Pierre Donnadieu) qui clôture l’établissement. Quelques mois après, on retrouve un Pigoil sombrant dans la dépression mais lorsqu’il perd la garde de son fils Jojo (Maxence Perrin) ; il se retrousse les manches et décident de ressusciter le Chansonia. Avec l’aide de ses potes d’enfance, il va monter un spectacle dans l’espoir de racheter l’établissement à Galapiat.

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    Beaucoup de médiatisation autour de Faubourg 36 qui est le second long métrage de Christophe Barratier après son énorme succès populaire Les choristes. La recette n’a pas vraiment changé avec ce sentiment de nostalgie nous plongeant dans le Paris des années 1930 et avec les présences de Gérard Jugnot & Kad Mérad déjà présents au générique du premier long métrage. La révélation cette fois se nomme Nora Arnezeder jusque-là peu connue du grand public qui va vous envouter avec sa douce voix. On a ce qu’on est venu chercher c’est-à-dire un film grand public et jovial sans réelles prises de risque de la part du réalisateur français.

    Il faut le voir pour : Les imitations de Jacky.